Dans une lettre ouverte dans Les Echos, Christophe Chausson de Chausson Finance challenge les capital-risqueurs francais. Il y pointe du doigt une certaine frilosite des fonds historiques francais.
En fait, les fonds francais ont tendance a faire du capital-developpement car ils ont devant eux la realite de leur deal flow. La plupart des entrepreneurs qui viennent les voir ont une perspective de marche , soit purement francaise (application liee au marche local), soit "extrapolable" sur l'Europe.
Ayant vecu les entrepreneurs americains depuis pres de 20 ans en Californie, je peux confirmer que leur perspective est mondiale, et donc ils s'attaquent des le premier jour a un marche geant.
Deuxio, le deal flow en Californie est 100 fois plus important que le deal flow a Paris, et par consequent les capital-risqueurs californiens peuvent prendre plusieurs risques sur plusieurs startups dans le meme espace. Alors que ce n'est absolument pas le cas en France.
C'est donc les lois de la quantite et de la probabilite qui handicappent les fonds de capital-risque francais.
En fait, les fonds francais ont tendance a faire du capital-developpement car ils ont devant eux la realite de leur deal flow. La plupart des entrepreneurs qui viennent les voir ont une perspective de marche , soit purement francaise (application liee au marche local), soit "extrapolable" sur l'Europe.
Ayant vecu les entrepreneurs americains depuis pres de 20 ans en Californie, je peux confirmer que leur perspective est mondiale, et donc ils s'attaquent des le premier jour a un marche geant.
Deuxio, le deal flow en Californie est 100 fois plus important que le deal flow a Paris, et par consequent les capital-risqueurs californiens peuvent prendre plusieurs risques sur plusieurs startups dans le meme espace. Alors que ce n'est absolument pas le cas en France.
C'est donc les lois de la quantite et de la probabilite qui handicappent les fonds de capital-risque francais.