L'Europe continue de pâtir de l'instabilité économique de
la zone. Entre la Grèce, l'Espagne, le Portugal, l'Italie, et bien sur
l'Irlande, le climat n'a pas été très favorable aux introductions en bourse au
1er semestre 2011.
Clairement l'engouement des marchés américains pour les nouvelles stars du web, tel LinkedIn, Zynga, Groupon, Zillow, et bientot Facebook, continue de doper les volumes et d'engager des investisseurs encore écorchés par la crise 2008-2009. "Ces nouvelles valeurs dont les croissances sont parfois à triple chiffres ne peuvent que donner de l'espoir aux investisseurs de recouvrir du capital qu'ils ont laissé sur la table en 2009" nous confirme Rachid Sefrioui, directeur général de Finaventures, une firme de capital-risque basée à Los Angeles
Quant à l'Asie, la Chine continue de gonfler, gonfler et gonfler. On ne sait pas si les chiffres des IPOs sont solides et tiendront le coup face à un éclatement possible des encours obligataires corporates chinois. Les entreprises qui ont opté pour une double cotation en Chine et aux US ont souvent vu leur titre prendre un coup post-cotation.
Clairement l'engouement des marchés américains pour les nouvelles stars du web, tel LinkedIn, Zynga, Groupon, Zillow, et bientot Facebook, continue de doper les volumes et d'engager des investisseurs encore écorchés par la crise 2008-2009. "Ces nouvelles valeurs dont les croissances sont parfois à triple chiffres ne peuvent que donner de l'espoir aux investisseurs de recouvrir du capital qu'ils ont laissé sur la table en 2009" nous confirme Rachid Sefrioui, directeur général de Finaventures, une firme de capital-risque basée à Los Angeles
Quant à l'Asie, la Chine continue de gonfler, gonfler et gonfler. On ne sait pas si les chiffres des IPOs sont solides et tiendront le coup face à un éclatement possible des encours obligataires corporates chinois. Les entreprises qui ont opté pour une double cotation en Chine et aux US ont souvent vu leur titre prendre un coup post-cotation.
Même les récents yo-yos des bourses mondiales n'ont pas perturbé les IPOs américaines.
Ceci veut dire que le marché a besoin de papier frais et
des entreprises qui peuvent doper la croissance des rendements dans les
portefeuilles moroses des investisseurs institutionnels.