Les fonds personnels étant limités (du moins les miens !) nous sommes bien obligés de faire un choix parmi de nombreuses belles startups. On dit qu’on apprend plus de ses erreurs que de ses succès. Et pour ma part… j’ai beaucoup appris !
Que vous en soyez à votre premier investissement ou non, j’espère que vous en retirerez quelques idées intéressantes.
Malhonnêteté ou incompétence ?
S’il existe des business angels qu’il vaut mieux éviter, faites également attention à certains « entrepreneurs ».
Le doux rêveur : Il ressemble à un entrepreneur, il parle comme un entrepreneur mais ce n’est pas un entrepreneur. Ce porteur de projet (inexistant) tente de lever des fonds avec comme arguments une feuille de papier et une idée qu’il valorise évidemment 1M€. En général, le montant des fonds recherchés correspond étrangement au total des salaires qu’il compte se verser.
Le beau parleur : Il s’agit « d’entrepreneurs » devenus experts dans l’art de lever des fonds mais pas dans celui de lancer un produit. Ils en sont à leur énième levée de fonds, ont des charges d’exploitations (comprenez salaires…) élevées avec leur entreprise mais savent argumenter habilement pour justifier le retard que prend le lancement de leur offre.
Une fois passé ces quelques cas exceptionnels, voyons quelques idées pour bien choisir votre startup.
L’équipe, l’équipe et… l’équipe
Tous les investisseurs vous le diront. L’équipe est LE critère décisif. Il vaut mieux une superbe équipe avec une idée moyenne que l’inverse.
Une des caractéristiques de la « dream team » est la complémentarité entre les fondateurs. Dans le cas d’une startup web par exemple, un profil orienté plus « commercial » associé à un profil « technique » évite d’externaliser le cœur d’activité de la startup et d’avancer rapidement puisque chacun connait son rôle.
Savoir anticiper, écouter, reconnaitre ses erreurs, accepter les problèmes quand ils surviennent, avoir l’esprit ouvert et être passionné par son produit fait partie des qualités appréciées chez un entrepreneur.
Personnellement, si la réponse à cette question « En cas d’échec de ce projet, serai-je prêt à investir de nouveau dans cette équipe ? » est non, je préfère m’abstenir d’investir.
Et ensuite ?
Que vous en soyez à votre premier investissement ou non, j’espère que vous en retirerez quelques idées intéressantes.
Malhonnêteté ou incompétence ?
S’il existe des business angels qu’il vaut mieux éviter, faites également attention à certains « entrepreneurs ».
Le doux rêveur : Il ressemble à un entrepreneur, il parle comme un entrepreneur mais ce n’est pas un entrepreneur. Ce porteur de projet (inexistant) tente de lever des fonds avec comme arguments une feuille de papier et une idée qu’il valorise évidemment 1M€. En général, le montant des fonds recherchés correspond étrangement au total des salaires qu’il compte se verser.
Le beau parleur : Il s’agit « d’entrepreneurs » devenus experts dans l’art de lever des fonds mais pas dans celui de lancer un produit. Ils en sont à leur énième levée de fonds, ont des charges d’exploitations (comprenez salaires…) élevées avec leur entreprise mais savent argumenter habilement pour justifier le retard que prend le lancement de leur offre.
Une fois passé ces quelques cas exceptionnels, voyons quelques idées pour bien choisir votre startup.
L’équipe, l’équipe et… l’équipe
Tous les investisseurs vous le diront. L’équipe est LE critère décisif. Il vaut mieux une superbe équipe avec une idée moyenne que l’inverse.
Une des caractéristiques de la « dream team » est la complémentarité entre les fondateurs. Dans le cas d’une startup web par exemple, un profil orienté plus « commercial » associé à un profil « technique » évite d’externaliser le cœur d’activité de la startup et d’avancer rapidement puisque chacun connait son rôle.
Savoir anticiper, écouter, reconnaitre ses erreurs, accepter les problèmes quand ils surviennent, avoir l’esprit ouvert et être passionné par son produit fait partie des qualités appréciées chez un entrepreneur.
Personnellement, si la réponse à cette question « En cas d’échec de ce projet, serai-je prêt à investir de nouveau dans cette équipe ? » est non, je préfère m’abstenir d’investir.
Et ensuite ?