Plus que tout autre secteur, l’industrie des
nouvelles technologies est particulièrement consommatrice de ressources
financières. En effet, les éditeurs, opérateurs et intégrateurs doivent
bénéficier de capitaux importants afin de développer des produits toujours plus
complexes et innovants. L’investissement en recherche et développement
(R&D) et en ressources humaines (ingénieurs et commerciaux) est donc une
donnée centrale de leur compétitivité et de leur performance.
Oui mais voilà, en phase de
lancement, accéder à de tels financements est un aspect complexe.
L’autofinancement est alors souvent de mise … Dans ce contexte, nombre
d’entreprises se mettent en quête, dès leur création, de fonds externes pour
franchir l’étape de la création et donner vie à leur projet.
Ainsi, il n’est pas rare de voir les acteurs du secteur se tourner classiquement vers des investisseurs (capital-risque, etc.) pour « financer » leur croissance. Au-delà de la difficulté d’accès à ces modes de financement, la problématique tient également aux attentes des investisseurs qui exigent fréquemment un retour exagéré et parfois irréaliste. Le chef d’entreprise, souvent le fondateur, est donc soumis à des objectifs commerciaux qui ne sont pas en phase avec la maturité de son développement, à savoir, la finalisation de l’offre produit. Il convient donc de bien analyser l’avancée de son projet avant de faire appel aux fonds d’investissement.
Au-delà de cette solution, nous avons la chance de vivre dans un pays où des dispositifs plus souples existent. Ainsi, de nombreuses aides publiques et aides à l’innovation permettent de répondre pragmatiquement aux attentes des sociétés en phase d’amorçage et de lancement. A titre d’exemple, nous pouvons citer les aides mises en place par OSEO, les labellisations JEI donnant droit à un crédit d’impôt, les aides régionales FEDER, initiées à l’échelle européenne, etc.
Cet arsenal de subventions et de mesures institutionnelles permet aux professionnels de l’industrie informatique de mieux maîtriser leur création et de développer sereinement leur activité sans pression excessive. Attention toutefois à ne pas sous-estimer les critères d’éligibilité ni le temps à consacrer afin d’accéder à ces leviers de développement. En ce sens, un travail de veille est à prévoir. L’on notera tout de même que cet élément estbien la seule contrainte de ce type d’aide !
Ainsi, il n’est pas rare de voir les acteurs du secteur se tourner classiquement vers des investisseurs (capital-risque, etc.) pour « financer » leur croissance. Au-delà de la difficulté d’accès à ces modes de financement, la problématique tient également aux attentes des investisseurs qui exigent fréquemment un retour exagéré et parfois irréaliste. Le chef d’entreprise, souvent le fondateur, est donc soumis à des objectifs commerciaux qui ne sont pas en phase avec la maturité de son développement, à savoir, la finalisation de l’offre produit. Il convient donc de bien analyser l’avancée de son projet avant de faire appel aux fonds d’investissement.
Au-delà de cette solution, nous avons la chance de vivre dans un pays où des dispositifs plus souples existent. Ainsi, de nombreuses aides publiques et aides à l’innovation permettent de répondre pragmatiquement aux attentes des sociétés en phase d’amorçage et de lancement. A titre d’exemple, nous pouvons citer les aides mises en place par OSEO, les labellisations JEI donnant droit à un crédit d’impôt, les aides régionales FEDER, initiées à l’échelle européenne, etc.
Cet arsenal de subventions et de mesures institutionnelles permet aux professionnels de l’industrie informatique de mieux maîtriser leur création et de développer sereinement leur activité sans pression excessive. Attention toutefois à ne pas sous-estimer les critères d’éligibilité ni le temps à consacrer afin d’accéder à ces leviers de développement. En ce sens, un travail de veille est à prévoir. L’on notera tout de même que cet élément estbien la seule contrainte de ce type d’aide !