Vous désirez partir en affaires? Vous avez procédé à la
rédaction de votre plan d’affaires et vous avez entamé les démarches pour
obtenir un prêt de votre institution financière ?
Vous avez pleins d’idées et être très enthousiaste de vous lancer dans ce beau projet ?
Vous avez pleins d’idées et être très enthousiaste de vous lancer dans ce beau projet ?
D’abord félicitations ! Ce n’est pas tout le monde qui a le
courage de devenir son propre patron. Étant entrepreneure moi-même je comprends
bien ce besoin et ce sentiment qui nous pousse à créer notre entreprise !
Plusieurs croient qu’il n’est pas nécessaire de communiquer
avec son conseiller juridique lorsqu’on planifie la création de son entreprise.
En fait, plusieurs croient qu’un avocat n’est utile que lorsqu’on fait face à
un conflit ou en cas d’infraction à une loi. Or, la fameuse maxime « mieux vaut
prévenir que guérir » s’applique parfaitement au droit des affaires et encore
plus au stade du démarrage d’entreprise.
Voici un survol des principaux éléments sur le plan
juridique auxquels il faut penser lorsqu’on démarre un projet d’affaires.
Négliger ces différents aspects peut avoir des conséquences financières
importantes pour votre entreprise.
- Le choix de la structure juridique
Il y a plusieurs éléments à considérer lorsque vient le
temps de choisir la forme juridique de son entreprise. Est-ce mieux de procéder
à la création d’une société par actions ou encore avoir une entreprise
individuelle ? Devrais-je procéder à la création d’une coopérative ?
Le choix de la structure juridique dépendra d’une multitude
de facteurs, tel que le fait de partir seul ou avec d’autres associés,
l’expectative de revenus les premières années, les risques financiers et les
risques reliés au domaine d’activité.
Plusieurs entrepreneurs ont tout perdu lorsque leur
entreprise a fait l’objet d’une poursuite ou que l’entreprise n’avait plus les
moyens de rencontrer ses engagements financiers. D’autres ont eu la mauvaise
surprise de constater le prix que pouvait réellement avoir le cautionnement
solidaire d’une obligation.